La F1 est au sommet de la vague, et elle n’entend visiblement pas retomber. Depuis qu’elle s’est trouvée un nouveau public, peut-être moins puriste, mais davantage axé sur le show, c’est comme si le promoteur n’acceptait plus de se contenter de courses moyennes. Soyons honnêtes, outre son charme lié à l’horaire matinal pour les Européens, et en dehors de son statut très cool de Grand Prix du bout du monde avec ses fans passionnés, la manche australienne n’est pas la plus attendue du calendrier, en tout cas en termes de spectacle. L’absence de vrai virage lent, et donc de gros points de freinage, n’a entraîné que peu de dépassements ces dernières années, avec à la clé pas mal de processions dominicales, notamment depuis 2011. En de
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